Circonstances permettant la rupture du jeûne
Il est permis de rompre le jeûne lorsque l’on craint l’aggravation de sa maladie ou simplement un retard dans sa guérison ; cela est également permis à une femme enceinte, ou qui allaite ou une nourrice, surtout lorsqu’elles craignent une diminution de leurs facultés, ou de dépérir, ou de tomber malade, ou d’affaiblir l’enfant [qu’il s’agisse du fils ou de l’enfant en nourrice].
Cependant la crainte n’est prise en considération que si elle s’appuie sur une expérience, ou sur le diagnostic d’un médecin musulman compétent et fiable. Il est également permis de rompre à celui qui est pris d’une faim ou d’une soif si violente qu’il craint d’en mourir.